Le recul de l’activité de fabrication d’aliments pour animaux en 2016 se traduit par des baisses d’importation de matières premières dans les ports français. Selon leurs hinterlands, les places portuaires sont diversement impactées. Chacune cherche des solutions pour maintenir ses parts dans un marché désormais durablement en baisse.
Pour l’année 2016, Nantes Saint-Nazaire Port enregistre un trafic de 25,5 millions de tonnes, supérieur à l’an passé. Mais la catégorie des vracs solides destinés à l’alimentation animale accuse une baisse de -16 % par rapport à 2015.
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