Le Sommet de l’élevage rassemble des productions animales d’une grande diversité. La place est largement faite aux ruminants mais les filières hors-sol se battent pour exister. Les principaux enseignements tirés lors de cette visite au Sommet sont que la croissance spectaculaire des volumes d’aliments fabriqués sous forme de mash s’accompagne de la multiplication des unités d’extrusion, mais que l’existence même des filières animales dans ces zones de production est menacée à moyen et très court terme pour certaines.
La forte fréquentation du Sommet de l’élevage ne doit pas masquer les inquiétudes des éleveurs sur l’existence même de leur filière de production à très moyenne échéance.
Les concours de génétiques sont toujours très suivis au Sommet, mais les races à viande sont trop rarement engraissées dans les régions françaises.
Alicoop
Au plus près des besoins de l’éleveur

De gauche à droite : Emmanuel Lebeau, commercial bovins et ovins, Éric Serezat, commercial vaches laitières et bovins viande, Séverine Brunet, responsable R&D et docteur en pathologie et nutrition animale, Mickaël Tourenne, commercial bovin, Gaétan Marot, commercial vaches laitières et bovins viande et Dominique Caillé, commercial vaches laitières et caprins.
Sur le stand de son distributeur Natéa, Alicoop affichait sa fierté d’accompagner les éleveurs dans des stratégies rémunératrices : « Fier d’être gagnant avec vous. » Séverine Brunet, docteur en pathologie et nutrition animale, tirait le bilan de la première année de commercialisation des VerdiBall : « Ce mélange d’ensilage de maïs, de fibres et de concentrés minéralisés, présenté sous la forme d’une balle enrubannée de 650 kg, représente la ration complète équilibrée de la vache tarie, rappelle-t-elle. En un an, nous avons préparé plus de 2 000 vaches et pu valider notre concept à grande échelle. Nous confirmons que cette offre répond aux attentes des éleveurs : elle leur simplifie la gestion du troupeau, elle réduit le temps de travail et facilite le recours à un personnel extérieur qui est sûr de ne pas commettre d’erreur dans l’alimentation des taries. » Une balle représente une trentaine de repas : soit une balle pour 3 vaches pendant 10 jours ou pour 10 vaches pendant 3 jours. Le minimum de livraison est de 10 balles. Alicoop gère la fabrication depuis son usine de Pamproux où elle maîtrise la spécificité d’un process industriel très coûteux en prestation.
Cette année, Alicoop propose un service de formulation de mash à la carte pour les grands troupeaux : VerdiMel et VerdiMix. « La formulation est établie par le conseiller avec l’éleveur, au regard du stock fourrager disponible sur l’élevage, explique Séverine Brunet. Ce sont des mélanges de matières premières en l’état, associés à des minéraux avec, pour la version Mix, un complément en fibres. » Cette solution est disponible par lot de 25 t et la formulation évolue au rythme des ouvertures de silos que le conseiller analyse pour recaler la formule au besoin. « Ces mélanges simplifient le travail de préparation de la ration complète pour l’éleveur », décrit-elle. Toujours en mash, mais à destination des bovins viande, Alicoop propose deux types de présentation : un mash « compacté », mélange de bouchons de 8 mm dans la formule Quartiz, ou un mash formé, mélange de granulés de 4 à 8 mm avec des matières premières en l’état sous la référence Lamix. « Ces formulations ne contiennent pas de fines, ce qui est essentiel en bovin viande où l’usage des nourrisseurs est très développé. »
Enfin, toujours dans le souci de s’adapter au plus près à la demande des éleveurs, Alicoop propose désormais plusieurs formules d’approvisionnement en minéral : dans l’aliment livré en vrac, en retrait dans un dépôt ou livré directement à la ferme. « Le mode de distribution ne doit pas être un frein au bon équilibre de la ration des animaux », conclut Séverine Brunet.
Alliasud
L’usine de Vergt construit son réseau

José de Muynck, le directeur technique d’Alliasud, Bart Matton, le commercial, et Bernard Mahé, le directeur de Sanders, présentent Alliasud.
En avril dernier, et ce, après quelques mois de retard, Alliasud inaugurait son site de production à Vergt en Dordogne. Fruit de l’association entre le groupe belge Danis et le groupe Sanders, la filiale Alliasud a mis en place son activité industrielle dans les bâtiments de l’ancienne usine Dialzo. « Nos premiers contacts avec Dialzo remontent à 2009… et c’est au Sommet de l’élevage que c’était fait la rencontre », se souvient José de Muynck, le directeur technique d’Alliasud.
« Sur ce site industriel, nous utilisons la technologie du brunissement non enzymatique de Borregaard, pour produire des protéines et des matières grasses by-pass, décrit-il. La digestibilité des produits issus de cette technique a été étudiée sur le modèle de la dinde où la prise de mesure par les sacs mobiles a révélé un maintien de la digestibilité jusqu’au petit intestin. »
Pour le groupe belge, l’installation dans le sud de la France devenait une urgence : « Nous cherchions à nous implanter dans le sud de la France car l’approche logistique depuis notre site industriel belge était rédhibitoire, souligne Bart Matton, le commercial. Le Périgord nous offre des débouchés commerciaux sur une zone où nous n’étions pas présents. Et c’est également une situation intéressante par rapport aux bassins de production végétale. » Quoi que l’approvisionnement de l’usine soit plus compliquée que prévu : « L’usine Dialzo était arrêtée depuis plus de deux ans, nous devons remettre en place les circuits d’approvisionnement, or il y a beaucoup de tensions sur la disponibilité des matières premières, notamment en soja local. » Danis traite par ailleurs le tournesol, le colza et la graine de lin et floconne le maïs, le blé, l’avoine et l’orge. « Notre volonté est de traiter des matières premières locales, assure José de Muynck. Notre produit implique en outre une nouvelle manière de formuler, avec des données nutritionnelles nouvelles. Nous avons conscience de créer un nouveau marché à partir d’un nouveau site industriel. C’est lent, mais cela démarre enfin ! »
Altitude - Centraliment
Pérenniser les filières animales régionales

Jean-Luc Doneys, directeur du secteur agro-distribution du groupe Altitude s’inquiète de la pérennité des filières animales dans sa région.
Le secteur laitier est le premier domaine d’activité du pôle nutrition animale de l’union Altitude. « Cette année aura été marquée par une belle dynamique laitière, apprécie Jean-Luc Doneys, directeur du secteur agro-distribution de l’union Altitude. Il semble que les producteurs de nos régions aient enfin enclenché le mouvement de la production, nous sommes à +8 % de collecte. Le contexte était globalement favorable : les éleveurs ont disposé tout au long de la compagne d’un stock de fourrage historique. Ils connaissent de mieux en mieux leurs fourrages et veulent des aliments qui leur permettent d’optimiser leurs ressources. Cela nous impose d’être très réactifs. » Altitude lance cet automne une opération pour préparer l’après-quota : « Nous allons mener une enquête pour identifier les attentes de nos éleveurs et leurs objectifs à trois ans : augmenter le volume de lait, baisser les coûts de production, augmenter le niveau de production par vache ? Etc. »
En bovin viande, l’activité connaît un fort développement de ses activités mash, notamment depuis la spécialisation du site de production d’Ussel, il y a 2 ans. Ce site de production avait été converti à la fabrication de mélange de matières premières par gravité. Le groupe n’exclut pas de développer cette activité sur son site d’Aurillac à très moyenne échéance. « Certaines zones demeurent dynamiques, comme le Limousin par exemple, mais globalement, nous sommes inquiets pour la pérennité de nos filières viande locales, révèle Jean-Luc Doneys. Nos filières d’exportation de broutards subissent la désaffection des aides européennes et doivent trouver un nouveau souffle. » Au sein du groupement de son union, Éleveurs du pays vert, Altitude revendique une démarche de soutien au développement de l’engraissement : « La finition est l’étape de la filière qui génère le plus de valeur ajoutée. Nous devons absolument trouver le moyen de l’exploiter localement. »
Quant au porc, Altitude lance un plan de développement de sa filière qui s’appuie sur son abattoir d’Aurillac et sa filière de transformation Teil-Cantal Salaison. « C’est difficile, il ne faut pas le nier. Mais nous avons de beaux débouchés avec par exemple notre marque Capelin de porcs élevés sur paille. La région a beaucoup de mal à maintenir sa production. Ma plus grande crainte c’est de voir notre zone de production passer sous le seuil limite de la viabilité économique : nous devons nous battre pour conserver nos outils de transformation et notre production. Aujourd’hui, les Régions ont plus d’opportunités avec la nouvelle Pac : auront-elles la volonté de soutenir leurs filières d’élevages ? Pour le porc en Auvergne, c’est la dernière fenêtre de tir possible… Ensuite, il sera trop tard. »
Atrial
Optimisation industrielle

Philippe Ducreux, responsable qualité pour le groupe, commente la nouvelle organisation industrielle d’Atrial.
Né en 2012 du rapprochement des trois structures régionales Eurea, Ucal et Evialis, Atrial disposait de 6 sites industriels lors de sa création. « Nous avons dû restructurer et fermer le site de Saint-Martin-d’Estreaux, dans la Loire, explique Ludovic Lecoeur, le directeur. La production s’est arrêtée en mars dernier. Nous visons une optimisation de nos outils industriels par leur saturation pour écraser les charges fixes. » Hérité d’Evialis, ce site, devenu obsolète, produisait essentiellement pour le ruminant. Ce site était équidistant des sites de Feurs et de Moulins, qui se sont donc vus réattribuer les volumes disponibles (40 % pour le premier, 60 % au second). Dans le même temps, Atrial est engagé dans une démarche de réduction de ses coûts logistiques : « Nos coûts logistiques sont aujourd’hui supérieurs à nos coûts de fabrication. Notre zone de chalandise est grande, depuis le Centre et le Limousin, jusqu’au Rhône-Alpes. »
Parallèlement, deux lignes de granulation ont été supprimées sur le site de Billom, dans le Puy-de-Dôme. « Nous avons transformé l’usine en site de production de mash, explique Philippe Ducreux, responsable qualité pour le groupe. Ainsi notre organisation de production est désormais centrée autour de deux outils de fabrication majeurs, multi-espèces, Feurs et Moulins, et 4 sites de production de mash. De récents investissements ont permis de revoir les équipements industriels : Feurs s’est vu doter d’une 4e ligne de granulation, et d’une tour supplémentaire de stockage augmentant ses capacités de stockage de 12 cellules de 20 m3. »
À Yzeure dans l’Allier, la capacité de dosage a été revue à la hausse, ainsi que la capacité de broyage afin d’alimenter la mélangeuse héritée du site de Saint-Martin-d’Estreaux.
« Les éléments de restructuration sont désormais derrière nous, espère Ludovic Lecoeur. Grâce à cette nouvelle organisation industrielle, nous sommes désormais plus sereins face à l’avenir. Le marché est également plus porteur sur cette campagne 2013-2014. » Atrial annonce une production de 285 000 t, dont 57 000 t en volailles et 37 000 t en porcs. Le volume est toujours commercialisé sous les trois couleurs Atrial pour les productions spécialisées, Alivert pour les ruminants, et Evialis pour le réseau des distributeurs historiques Evialis.
Bernard Nutrition animale
Un marché qui s’ouvre à l’export

David Philippe, l’animateur commercial chargé des bovins viande et Nicolas Meyer, le directeur de Bernard Nutrition animale.
L’usine de Bernard Nutrition animale est basée à Meximieux dans l’Ain. Elle traite des matières premières en négoce et produit du mash. Elle vend également des aliments granulés dont elle sous-traite la fabrication. « En tout, notre activité représente 100 000 t, dont 20 000 t d’aliments composés », explique David Philippe, l’animateur commercial chargé des bovins viande.
« Notre outil industriel est très simple, décrit Nicolas Meyer, le directeur de Bernard Nutrition animale. Nous stockons à plat et réalisons nos mélanges dans un gros bol mélangeur. » L’usine fonctionne en 2 X 8 et optimise sa logistique, en partie interne, en rechargeant des matières premières sur le Rhin en retour. Sa zone d’activité s’étend de la Savoie à l’Auvergne, de la Loire et la Drôme vers l’Allier.
Spécialisée dans l’alimentation des bovins, l’entreprise s’est diversifiée dans le cheval, qui représente 7 000 t d’aliments et connaît un beau développement à l’export au Maroc, en partenariat avec la société Vitafarm. « Depuis un an, nous expédions 25 t d’aliments, chaque mois, au Maroc. »
DFP Nutraliance
Soutenir les filières de production
DFP Nutraliance, leader de la nutrition animale sur le Limousin détenu à 50/50 par InVivo et Dumas, fondateur de la société, regroupe plusieurs entreprises qui au total cumulent 150 000 t d’aliments. Derrière le fleuron du groupe, DFP Nutraliance et son site de Saint-Ybard en Corrèze qui produit 110 000 t/an, se trouvent aussi Moulin Beynel qui produit 6 000 t d’aliments bio depuis son site corrézien de Saint-Priest-de-Gimel, et Simbelie, producteur de 35 000 t de mash par an à Ligneyrac, également en Corrèze.
« Chaque entité garde son identité et est autonome sur son site de production », souligne Jean-Claude Floquet, directeur du marketing. Chacun avait d’ailleurs son propre stand au Sommet. La société DFP Nutraliance travaille dans le Limousin et ses départements limitrophes, dans un rayon d’environ 130 km autour de son usine. « La Corrèze et la Haute Vienne constituent les 2 pôles historiques de clientèle de l’entreprise mais aujourd’hui, l’entreprise peut livrer directement ou par l’intermédiaire de ses distributeurs les départements du Lot, du Cantal, de la Dordogne, de la Creuse, de l’Indre, de la Charente et de la Vienne. »
60 % de l’activité est réalisée à destination des ruminants, majoritairement les bovins viande, et 40 % en porcs et volailles, à destination d’organisations de production. « En ruminant, nous avons axé notre développement sur le soutien de la production, revendique Benoît Costes, le responsable ruminants. Nous voulons faire comprendre aux éleveurs pourquoi il faut engraisser et non vendre des broutards. C’est la clé de la rentabilité des filières viandes qui ne peuvent plus compter sur les aides comme ce fut le cas à certaines périodes. Nous voyons les exploitations s’agrandir… et privilégier les cultures végétales. Si nous ne prenons garde, nous allons voir nos filières viande locales disparaître. Le lait a réussi à limiter les dégâts grâce à la robotisation de la traite mais rien n’est gagné. Nous avons créé une opération avec les Jeunes agriculteurs pour soutenir l’installation, en offrant une enveloppe de 1 000 € aux jeunes installés destinée à rémunérer des services par tranche de 250 €. L’idée est d’encourager les éleveurs à solliciter des services extérieurs qui les aident à progresser. » En hors-sol, DFP Nutraliance a également mis en place une opération pour encourager les installations : « Nous nous engageons à leur côté, dans le cadre d’un partenariat qui rassure les structures financières, contre la garantie d’un approvisionnement en aliment pendant 3 ans. »
« Depuis 2012, nous avons investi plus de 2 millions d’euros sur notre site de fabrication pour augmenter nos capacités de granulation, nous nous sommes dotés d’un nouveau poste de chargement et d’un broyeur équipé d’un changement de grille automatique », décrit Jean-Claude Floquet, directeur du marketing.
Franson – Bouvier Distribution
Des matières premières originales pour une usine unique
L’entreprise Bouvier Distribution est négociant de matières premières en Haute-Savoie. À son catalogue, au-delà de l’offre classique de tout bon négociant, il propose des plus rares tourteaux de germes de maïs, des appétissantes brisures de chips de pommes de terre ou des originales radicelles d’orge… Depuis 5 ans, il expose au Sommet de l’élevage sous les couleurs du fabricant de mash belge Franson. « Je vends des matières premières à Franson qui propose un procédé unique de fabrication de mash, explique Marcel Bouvier, le dirigeant de Bouvier Distribution. Son site de production est doté de silos horizontaux disposant de plusieurs sorties par gravité et dont les parois sont mobiles pour limiter le déplacement de la matière première. Les vérins, chaînes de fabrication et autres élévateurs des systèmes de transferts jugés trop agressifs sont remplacés par des containers, un pont roulant et des tapis roulants plus respectueux des produits. La mélangeuse elle-même est mobile. Outre les incidences sur la qualité des mash produits aux premiers rangs desquels la quasi-absence de fines, les Belges y voient un intérêt purement industriel : « La charge et la décharge sont plus rapides. Moins de transport implique une moindre consommation d’énergie, estimée à 75 % inférieure à une usine classique. L’atténuation de la friction entre le produit et l’installation entraîne moins d’usure et donc de moindres coûts de maintenance… »
Franson est une filiale du groupe Van Malleghem et l’usine de production se trouve à Nazareth, au sud-ouest de Gand.
Grenier coopératif Albigeois
Extruder des graines locales
La coopérative Le Grenier coopératif albigeois est devenu producteur d’aliments du bétail à la faveur de l’arrêt d’une usine locale dont elle a repris l’activité en 1999, se retrouvant fabricant de mash et de granulés. « En 2000, nous avons créé une branche approvisionnement pour suivre l’évolution de notre activité », relate Thierry Roche, le président. Dans cette unité de mash, le Grenier coopératif albigeois utilise de l’extrudé de lin : « Nous avons perçu les possibilités de cette plante qui permet à nos adhérents de diversifier leurs assolements en production végétale et de disposer d’un aliment intéressant pour leurs productions animales, explique Daniel Maurel, directeur de la coopérative. Le lin est également intéressant pour sa conduite culturale économe en phytosanitaire. »
En quelques années, la coopérative a incité ses adhérents à produire du lin et s’est dotée, en 2012, d’un outil d’extrusion, installé à Saint-Juéry près d’Albi. Elle dispose de deux lignes d’extrusion, d’une capacité de production de 10 000 t. « Aujourd’hui 40 adhérents cultivent chaque année 800 ha de lin. Les volumes nécessaires par ailleurs sont contractualisés auprès de structures régionales partenaires. Nous avons la volonté de nous différencier en proposant une offre basée sur une filière locale, traçable. Nous ne revendiquons pas un discours filière qui englobe jusqu’au produit carné final et ses effets sur la santé humaine. » L’usine d’extrusion couvre les besoins de l’usine d’aliments et livre une vingtaine de fabricants. Pour satisfaire leurs besoins, la coopérative a créé la gamme Ineal. La référence Ineal lin existe à trois niveaux d’incorporation : 30 %, 50 % et 70 % et propose une formulation pro, où le lin est incorporé à une association de protéagineux stable. Ineal soja est un extrudé composé à 100 % de soja. Enfin, l’entreprise propose aux fabricants de concevoir leur propre extrudé, réalisé à façon.
« La croissance passe par la diversification, c’est valable du point de vue des coopérateurs, chacun dans son exploitation, mais aussi pour notre structure coopérative », concluent Olivier Massoutié responsable du pôle végétal et Pierre Albouy, responsable du pôle animal.
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Françoise Foucher
Retrouvez l'intégralité de l'article dans la RAA 681 novembre 2014
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